Nous vous présentons la liste de Philippe CONTE « Une nouvelle ère pour l'UPR », déposée vendredi 26 juin à 12h00 et validée le soir même par le secrétaire général à 21h37. La liste de Philippe CONTE soutient Les signataires.
Tous les candidats de la liste ont un casier judiciaire vierge et ne font l'objet d'aucune affaire.
Membres titulaires du Bureau national de l’UPR
Philippe CONTE (Indre-et-Loire), président
Philippe est né en 1966 et a passé les trente premières années de son existence à Paris. Depuis 1996, il vit à Tours, est chef d'entreprise. Père de deux enfants, il est diplômé de l'EHESS. Il a rejoint l'UPR après la crise grecque et sa démonstration que toute négociation pour changer l'UE de l'intérieur était illusoire. Il fut onzième de la liste UPR aux élections européennes. Il fut le premier responsable de l'UPR à affronter un cadre LREM en débat radiophonique. Ceux qui suivent son compte twitter @allore_d connaissent son combat incessant contre le néo-libéralisme européiste et le néo-conservatisme états-unien.
Martine DECIUS (Seine-Saint-Denis), secrétaire générale
Née à Port-au-Prince en Haïti en février 1975, Martine est arrivée en France avec ses parents alors qu’elle était encore enfant. Elle a obtenu la nationalité française à l’âge de 4 ans. Devenue informaticienne, experte en cyber sécurité, elle a adhéré à l’UPR en février 2016.
Martine, aujourd’hui déléguée départementale de notre mouvement en Seine-Saint-Denis, a été candidate aux élections législatives sur la seconde circonscription du département (2017), n° 12 sur la liste UPR aux élections européennes (2019), puis n° 2 aux élections municipales de Montreuil (2020). Elle est membre du Bureau national sortant.
Isabelle NINVIRTH (Charente-Maritime), trésorière
À 57 ans, Isabelle est de formation comptable et financière. Mère de quatre enfants installés dans la vie, elle a quitté ses fonctions de responsable en gestion des crédits clients en grande entreprise il y a quelques années et a repris ensuite un cursus d’études à l’université de droit.
En juillet 2015, elle a adhéré à l’UPR. Abstentionniste, c’était la première fois de sa vie qu’elle adhérait à un parti politique. Devenue déléguée de Charente-Maritime en 2016, elle a fait son entrée au Bureau national en 2017 et a participé à la Coordination des délégations depuis.
Laure AVOT (Eure-et-Loir)
Née en 1983, Laure a achevé sa formation professionnelle en communication institutionnelle en Espagne, pays dans lequel elle a vécu dix ans et découvert l'UPR. De retour en France en 2016, elle participe spontanément à la recherche de parrainages pour la présidentielle, adhère dans la foulée, milite très activement dans la délégation de la rive gauche de Paris avant d’emménager en Eure-et-Loir. Suppléante pour les législatives 2017. Attachée de presse salariée au siège de l’UPR lors des européennes 2019. Pour Laure, l'UPR doit poursuivre l'objectif de la triple sortie par une dynamique porteuse d'espoir pour ses concitoyens.
Guillaume BÉTEND (Ille-et-Vilaine)
Né en décembre 1972, Guillaume est informaticien et conseiller municipal. Adhérent depuis 2013, il est délégué régional de l’UPR Bretagne et a été candidat dans la 7e circonscription de l'Ille-et-Vilaine lors des législatives de juin 2017. Durant les deux années passées à la tête de la délégation de l'Ille-et-Vilaine, Guillaume s’est attaché à organiser un bureau en charge des cafés citoyens, collages, tractages et rencontres, et de la participation à l'organisation d'un meeting pour les européennes. Il aura à cœur de continuer à œuvrer au sein du parti pour arriver au résultat que tous veulent : rendre son indépendance à la France en sortant de l'UE, de l'euro et de l'OTAN.
Éric BOIZET (Alpes-Maritimes)
Né en 1961, Eric Boizet vit à Nice. Il est photographe, adhérent depuis 2008 et membre sortant du BN. Il est particulièrement intransigeant concernant la notion de souveraineté nationale et se méfie comme de la peste de tous ceux qui parlent de souveraineté mais qui systématiquement en oublient des facettes essentielles, ou encore qui détruisent la notion très claire de « souveraineté nationale » en la remplaçant par celle très vaseuse qu'ils appellent « souverainisme ». Il est membre du Bureau national sortant.
Quentin BOURGEOIS (Pas-de-Calais)
Quentin est né en 1982 et son intérêt pour la politique remonte aux européennes de 1994. En 2006, il rejoint le Front national et sera candidat lors de nombreux scrutins, notamment en 2014 pour les municipales à Saint-Omer (15 000 habitants) où il est élu conseiller. Il quitte le FN en décembre 2017, à la suite du changement de position de Marine Le Pen sur l'euro et l'UE. Il rejoint officiellement l'UPR en février 2019 et sera candidat aux européennes. Il se montrera force de propositions pour les municipales de 2020. Aujourd'hui, il souhaite continuer le combat qu'il mène depuis treize ans pour la défense de la souveraineté de la France.
Manuel DE LAVALLÉE (Seine-Saint-Denis)
Né en 1962 à Paris, Manuel De Lavallée est marié et père de famille nombreuse. Descendant d’une famille de républicains espagnols victimes du franquisme, il suit régulièrement la vie politique et sociale des deux côtés des Pyrénées, comme à l’international. À 17 ans il rentre comme apprenti à la SNCF et y est aujourd’hui responsable en cyber sécurité. Ingénieur du Centre national des arts et métiers, il est également enseignant vacataire en informatique à l’université de Paris-Descartes. Adjoint de délégation de la Seine-Saint-Denis depuis 2017, il a été candidat aux législatives (2017), aux européennes (2019) et tête de liste aux municipales à Montreuil (2020).
Jean DE ROHAN-CHABOT (Nièvre)
Jean, âgé de 56 ans, est délégué départemental de la Nièvre et délégué régional de Bourgogne. Il est aussi syndicaliste et enseignant en histoire-géographie.
Il a combattu l’intégration supra nationale depuis Maastricht. C’est donc tout naturellement qu’il est devenu adhérent de l’UPR en 2016.
Jean est membre du Bureau national sortant.
Gaylord DESANGLES (Rhône)
À 30 ans, Gaylord est fils d’une comptable et d'un agriculteur, maire du petit village du Gers où il a grandi. Diplômé d'un master en génie civil et infrastructure, il est conducteur de travaux dans une entreprise du bâtiment du Rhône. Très critique sur l’Union européenne, il découvre le programme de l'UPR à la présidentielle de 2012. Il adhère en 2013. S’ensuit un militantisme sans faille, d’abord à Toulouse, puis à Grenoble et enfin à Lyon, où il vit depuis quatre ans. En 2018, Gaylord devient délégué départemental du Rhône. Il a été candidat aux législatives de 2017 et colistier aux municipales de 2020.
Karim ERRAHMANE (Seine-Maritime)
Né en 1974, titulaire d’un doctorat en physique des particules, Karim est professeur de physique à l’université.
Il est adhérent à l’UPR depuis avril 2015. Référent de la délégation de Seine-Maritime depuis 2017, il en est aujourd’hui le délégué départemental. Il a été candidat sur la liste UPR pour les régionales en 2015 en Normandie. Puis il s’est présenté aux législatives en 2017.
Karim souhaite que l’UPR fasse appel à tous les talents de notre association pour développer la défense de la langue et de la culture françaises et faire la promotion de la francophonie.
Gilles GARÇON (Gironde)
Né en mai 1958, Gilles est retraité depuis 2020, après avoir exercé comme chef d’entreprise dans de nombreux domaines d’activités.
Son premier engagement politique, il l’effectue en 1974 à l’âge de 16 ans à l’UJP (mouvement des jeunes gaullistes). Il rejoint l’UPR en novembre 2017, et devient adjoint de délégation de la Gironde dès 2018. En 2020, il est tête de liste UPR aux élections municipales à Bordeaux.
Béatrice HÉNOUX (Seine-Saint-Denis)
Née en juin 1966, Béatrice a adhéré à l’UPR en août 2011 alors que le parti comptait moins de 600 adhérents. Ayant commencé sa carrière comme professeur de lettres, Béatrice a décidé de se reconvertir en artisan-plombier. De son ancien métier, elle a gardé le goût des lettres et a mis ses compétences dans la correction des articles de l’UPR, notamment. Femme énergique et de caractère, elle a participé à toutes les élections du mouvement depuis 2014. Membre de la Coordination des délégations et du Bureau national sortant.
Éric LEMESRE (Sarthe)
Né en juin 1966, Éric est informaticien dans une compagnie d’assurances. Il a rejoint notre mouvement en août 2014, quelques mois après les élections européennes. Depuis lors, il est un membre actif et efficace de notre équipe de support informatique, et il seconde efficacement Nicolas Martin pour la gestion des délégations. Il a été candidat de l’UPR dans la 4e circonscription de la Sarthe lors des élections législatives de juin 2017. Il est délégué départemental de la Sarthe et membre du Bureau national sortant.
Nicolas LETOURNEL (Indre)
Né à Rennes en 1971, père de deux enfants, Nicolas est plombier-chauffagiste-électricien, ancien président d'association de conseils à la Maison patrimoniale et bioclimatique, ainsi que président d'association sportive. Séduit par la permaculture, il découvre l'UPR en 2012 lors de son université d'automne et, malgré son refus de voter jusque-là, il finit par adhérer en 2015.
Nicolas est délégué départemental de l’Indre. Il a été candidat aux régionales du Centre-Val de Loire de 2015 et aux législatives de 2017 dans la 2e circonscription de l'Indre.
Nicolas MARTIN (Rhône)
Né en 1974 à Lyon, habitant aujourd’hui à la campagne, Nicolas est à la fois musicien intervenant en écoles élémentaires, clarinettiste, jardinier, papa de deux enfants… adhérent de l’UPR depuis 2010 et membre du Bureau national sortant.
Avec Nicolas, il s’agit de pointer du doigt la cause de nos problèmes, de se concentrer sur des conceptions politiques et économiques qui peuvent sembler a priori « abstraites », de parler sérieusement de liberté, d’indépendance, de souveraineté populaire, de RIC, de sortie de l’OTAN et de sortie de l’UE. Pour lui, la réussite sera collective et fraternelle, ce malgré les désaccords culturels et politiques de chacun et qui habituellement divisent.
Benoît MATHARAN (Gers)
Né en 1977 dans le Gers, marié et père de deux enfants, Benoît obtient le brevet et le bac dans le Gers puis son DUT à Toulouse. À 20 ans, il est embauché comme chef de chantier et travaille 8 ans dans 2 très grosses sociétés du BTP. En 2005, il crée sa petite entreprise de maçonnerie qui emploie deux salariés.
Benoît est conseiller municipal d’Estipouy depuis 2014 et élu de la CAPEB (syndicat d'artisans) depuis 2016. Il adhère à l’UPR en 2015 et se présente successivement aux élections régionales, législatives et européennes. Il participe très activement à la recherche des parrainages pour la présidentielle. Il est délégué départemental du Gers et membre du Bureau national sortant.
Charles MORICE TSINAMZGVAROV (Paris)
Né en 1963 à Paris 14e, Charles rentre tôt dans la vie active avec un BEPC. Il s’oriente rapidement vers la police judiciaire parisienne. Il obtiendra le grade de major exceptionnel, deviendra directeur d’enquêtes criminelles, puis adjoint au chef d’état-major. En 2014, il découvre l’UPR et s’engage pour la première fois en politique, qui dénonce comme lui le caractère dictatorial de la « construction » européenne. Militant volontaire, la sécurité des événements publics du mouvement lui a été rapidement confiée. Domaines de prédilection : géopolitique, justice, police, sciences et technologies.
Patricia NEY (Cantal)
Patricia est originaire de la Moselle, 58 ans, mariée, un enfant. Elle a travaillé vingt-trois ans dans l'hôtellerie, où elle a exercé durant les dix dernières années la fonction de responsable commerciale pour le groupe FRANTOUR/ACCOR, ses fonctions l’amenant à se déplacer chaque année dans des capitales en Europe, en Russie et en Chine. Depuis 2003, elle est cadre dans une association traitant de tous les litiges de la vie.
D'abord référente temporaire de l’UPR en Côte d'Azur, puis déléguée départementale du Cantal, elle devient déléguée régionale d'Auvergne en 2019. Elle s’est présentée aux législatives en 2017.
Alain PARISOT (Loire-Atlantique)
Originaire du centre de la France, Alain est l’aîné d’une famille de trois enfants. Après des études de mathématiques à la faculté de Tours, il s’oriente vers l’informatique. Marié et père de famille, il habite à Nantes depuis trente ans et travaille comme cadre commercial pour une PME. Il a adhéré à l’UPR en octobre 2012.
il est délégué régional des Pays de la Loire et membre du Bureau national sortant.
David PAUCHET (Alpes-Maritimes)
Né en mars 1982, père de trois enfants, originaire de Lorraine, David a poursuivi des études d'ingénieur à Supélec et KTH (Stockholm). Installé depuis 2005 sur la Côte d’Azur, il travaille dans l'informatique pour l'industrie du voyage. Il s'est engagé pendant dix ans au sein d'une association luttant contre la faim dans le monde. En 2014, il découvre la conférence « Qui gouverne la France et l’Europe » et rejoint l'UPR. Il est l’initiateur et le responsable de la revue de presse du Frexit qui satisfait un public de plus en plus large. Il est délégué des Hautes-Alpes, délégué de la région PACA, membre du Bureau national sortant.
Thierry PONS (Tarn)
Thierry est né le 13 mai 1965 à Albi. Il est divorcé et père d’un fils de trente ans. Fils d’ouvriers, il a grandi avec sa sœur dans une famille unie. Artisan pendant dix-sept ans, Thierry possède un diplôme de menuisier et un autre de tapissier en ameublement. Il est ensuite devenu agent commercial en immobilier par un concours de circonstances. En disponibilité depuis le 1er janvier 2020, il s’occupe de la gestion de son patrimoine personnel avant de faire prendre une direction nouvelle à sa carrière professionnelle.
Délégué du Tarn depuis cinq ans, ancien délégué de la région Midi-Pyrénées, il est aussi membre du Bureau national sortant.
Cyrille REUTER (Seine-et-Marne)
Né en 1973, marié, trois enfants, Cyrille rejoint l’UPR en 2013.
Mécanicien aéronautique et fervent patriote, il est inquiet des évolutions de la compagnie aérienne nationale. Militant chevronné de l’UPR, il participe activement à la conception des projets de tracts et d’affiches.
Cyrille est membre du Bureau national sortant.
Killian SCHWAB (Ille-et-Vilaine)
Né en août 1994 à Villepinte, en Seine-Saint-Denis, Killian adhère en 2019 après avoir été sympathisant pendant six ans. Après un cursus de droit à Rennes, il devient juriste en droit public et enseignant dans le privé. Passionné d'Histoire, il est plus particulièrement spécialiste du droit constitutionnel, ce qui lui permet de comprendre les rouages des traités européens, qui assurent à chaque nouvelle mouture une disparition progressive de la souveraineté de notre pays.
Adjoint de délégation en Ille-et-Vilaine, il s'est particulièrement impliqué dans la campagne pour le référendum ADP.
Sophie SÉNAC (La Réunion)
Née en 1970 à Nevers, elle a vécu en Bourgogne, en Bretagne et en région Rhône-Alpes. Architecte installée depuis 2012 sur l’île de La Réunion, Sophie découvre l’UPR en février 2015 et y adhère trois mois plus tard. Rapidement, elle met son dévouement, son sens de l’organisation, ses aptitudes rédactionnelles et graphiques au service du militantisme local et national.
Elle est n° 2 de la liste aux régionales 2015, candidate aux législatives 2017, suppléante dans une législative partielle en 2018, candidate sur la liste des européennes 2019. Elle est déléguée de La Réunion et membre du Bureau national sortant.
Hugo SONNIER (Loire-Atlantique)
Né à Grenoble en mai 1989, Hugo est technicien procédés pour une entreprise de grenaillage ultrason à Nantes.
Adhérent depuis août 2014 et militant très actif depuis, il participe à la campagne des départementales partielles dans le canton de Saint-Herblain 1, se charge de la structuration web de la délégation 44 et réalise également des reportages et entretiens pour UPRTV.
Candidat aux régionales (2015), aux législatives (2017), aux européennes sur la liste "Ensemble pour le FREXIT" (2019) et enfin tête de liste aux municipales de Nantes (2020). Il est délégué départemental de Loire-Atlantique depuis 2016.
Anthony VÉRA-DOBRÕES (Côtes-d’Armor)
Né à Meaux (Seine-et-Marne) en 1993, Anthony a fait ses études à l'université de Rennes, dont il est sorti diplômé d'un master 2 en droit des affaires (DJCE). Installé en terres bretonnes depuis près de neuf ans, il adhère à l'UPR en mars 2017 et milite activement pour la présidentielle puis les législatives. Il est nommé adjoint de délégation au printemps 2019, au moment des européennes. Aujourd'hui, il exerce la profession de juriste conseil en entreprise dans les Côtes d'Armor. Son parcours militant suivant son parcours professionnel, Anthony participe aujourd'hui activement à la vie de sa délégation.
Jérôme YANEZ (Hauts-de-Seine)
Né en 1985, adhérent de l’UPR depuis 2014, Jérôme a été candidat aux législatives dans les Hauts-de-Seine (2017). Remarqué pour sa qualité d'analyse et sa connaissance des enjeux environnementaux, il est nommé responsable des questions écologiques en 2018. Dans sa conférence "Frexit écologique" et dans les dossiers qu’il a rédigés pour upr.fr, il explique que la protection de la nature a pour condition nécessaire la souveraineté populaire. Il promeut la démondialisation, la détente productive et la lutte contre les grands intérêts financiers.
Il fait confiance à Philippe Conte pour donner un nouvel élan à l'UPR.
Mimoun ZIANI (Hauts-de-Seine)
Né en 1978, Mimoun est médiateur pour la ville de Clichy-la-Garenne depuis avril 2014. Son adhésion à l’UPR en janvier 2013 marque son premier engagement dans un parti politique.
Militant très actif dès le début, il obtient très vite une belle réputation de colleur d’affiches. Avec l’aide de quelques militants, il commence à structurer le militantisme en Île-de-France et est nommé délégué dans les Hauts-de-Seine, puis adjoint de délégation régionale d’Île de France Ouest.
Il est en outre membre du Bureau national sortant.
Membres suppléants du Bureau national de l’UPR
Marc ANTONIOTTI (Bouches-du-Rhône)
Né en 1953 dans le Nord, Marc habite Marseille depuis 1970. Titulaire d'un DESS en sciences du langage, musicien de jazz et enseignant de cette musique pendant trente-cinq ans, il est aujourd'hui à la retraite.
Il consacre une bonne partie de son temps à des activités militantes et a soutenu le mouvement des Gilets jaunes jusqu'aux élections européennes.
Pour Marc, parmi les combats les plus nécessaires, il y a celui de la moralisation de la vie politique française, celui de notre souveraineté, et donc, celui de la triple sortie de l’UE, de l’OTAN et de l’euro.
Stanislas BARTKOWIAK (Indre-et-Loire)
Né en 1946 dans un coron des mines de la banlieue lensoise, Stanislas a les qualités de ceux du bassin minier : solidaire, généreux et dur au travail. Titulaire d’un diplôme bac+6, il est embauché en 1972 dans un groupe de presse régionale. Sa mission : « informatiser » la distribution des journaux ! Toujours à la pointe, il termine sa carrière en charge du développement du multimédia et de l’internet. Adhérent de l’UPR depuis décembre 2015, délégué départemental de l’Indre-et-Loire depuis 4 ans, candidat aux législatives en 2017, son engagement militant, ses qualités de rigueur, de méthode et d’organisation sont un plus indéniable pour notre liste.
François BASTIER (Indre-et-Loire)
Scandalisé par le Congrès de 2008 ayant ratifié le traité de Lisbonne, et convaincu par les conférences de l’UPR, François a adhéré à notre mouvement en 2014 pour soutenir la triple sortie UE, euro et OTAN.
Les résultats obtenus lors des scrutins de 2017 l'ont poussé à s'interroger sur les méthodes employées pour obtenir le Frexit.
Pour lui, la meilleure stratégie pour permettre à la France de retrouver sa souveraineté, c’est d’abord un référendum sur la question du Frexit, permettant de rassembler les différentes forces souveraines.
Françoise BELLUT (Rhône)
Adhérente de l'UPR depuis septembre 2012, Françoise est née en 1965 à Romans dans la Drôme. Elle réside depuis vingt ans à Oullins dans le Rhône. Engagée sur le terrain, elle a participé à de nombreuses opérations militantes, puis a été suppléante aux européennes 2014, candidate aux régionales 2015 et aux législatives 2017. En outre, elle a assisté de 2014 à 2018 dans diverses missions les délégués départementaux du Rhône successifs Nicolas Martin et Daniel Bellut.
Vincent BÉROFF (Drôme)
Né en 1980, Vincent est marié et père de trois enfants. La foi chrétienne est importante pour lui. Professionnel très investi, il travaille comme aide médico-psychologique dans un foyer de vie accueillant des personnes adultes en situation de handicap.
Adhérent depuis 2012, il devient délégué départemental de la Drôme, puis délégué régional de Rhône-Alpes lors jusqu'en 2017. Après avoir pris un peu de recul en 2018 par rapport à la direction du parti, il revient œuvrer pour le Frexit, la sortie de l'OTAN et la démocratie.
Christophe BERTHIER (Indre-et-Loire)
Tourangeau né en 1966, il adhère à l’UPR lors de l’université de 2013 à la Grange de Meslay, après plus de trois ans d’écoute et de vérifications. De culture scientifique et les pieds sur terre, il lui fallait comprendre pourquoi, inexorablement, le pays s’enfonçait malgré les alternances politiques qui étaient chaque fois censées apporter joie et prospérité. Le problème était assurément ailleurs. Depuis lors, il milite activement sur son département. Suppléant aux législatives 2017, ancien conseiller municipal, après avoir porté les idées du Frexit en séance, il souhaite continuer à les porter au sein d’une équipe nationale redynamisée qui permettra enfin de décoller.
Martin BORDEAU (Mayenne)
Né en mai 1985 et résidant en Mayenne, Martin a suivi une formation en mathématiques appliquées validée en 2010. Il exerce en tant qu’actuaire consultant (sept ans) puis en indépendant (trois ans) en Île-de-France. Martin est membre de l’UPR depuis décembre 2013. Il participe en tant que militant à la campagne des européennes de 2014 puis est candidat aux élections régionales de 2015 et législatives de 2017. Après l'élection présidentielle, à la suite de la démission de Luccio Stiz, son délégué départemental, Martin Bordeau est recommandé par ce dernier pour reprendre la délégation. Il anime le département de la Mayenne depuis trois ans.
Carole BOSY (Saône-et-Loire)
Née en 1963 à Paris, mariée et mère de trois grandes filles, Carole est formatrice en logiciels de menuiserie. Elle adhère à l’UPR en 2012, quand le mouvement ne compte qu’un peu plus de 1 000 adhérents. Elle participe à la 1re université de l’UPR et à celles qui ont suivi.
Carole a été référente départementale dans le Var et déléguée départementale de la Saône-et-Loire.
Elle a participé à la campagne de la législative partielle de 2013 dans le Lot-et-Garonne, a été candidate aux européennes 2014, aux régionales 2015 et aux législatives 2017 dans la 1re circonscription de Saône-et-Loire.
Très attachée aux valeurs de l’UPR, Carole souhaite contribuer à la démocratisation du mouvement et à la valorisation des équipes militantes.
Claire BOUVIER (Alpes-Maritimes)
Claire, 53 ans, mère au foyer, auparavant documentaliste dans le secteur musical, est adhérente depuis 2014, séduite par les valeurs d'honnêteté, de fiabilité, de transparence et de démocratie prônées par l’UPR.
Ayant grandi à la campagne, elle a pu constater les ravages causés par la désertification rurale, la désindustrialisation, les intercommunalités imposées et elle défend les départements. Elle milite activement pour la sauvegarde des territoires ruraux, pour la généralisation des circuits courts et contre la lutte contre l'étalement urbain.
Elle a été candidate aux législatives de 2017. Elle est adjointe de la délégation PACA.
Édouard CLAIR (Côte-d’Or)
Né en 1988, viticulteur à Marsannay-la-côte en Côte d'Or, Édouard a adhéré en 2011 après avoir compris que la sortie de l'UE était la 1re marche indispensable pour une vraie démocratie.
Devenu délégué car 1er adhérent/militant de Côte d'Or, il a participé à la recherche de parrainages pour la présidentielle… de 2012. Candidat sur la liste du Grand-Est aux européennes de 2014, puis aux régionales de 2015, et candidat aux législatives en 2017 dans la 5e circonscription de Côte d'Or.
Maxime COURTECUISSE (Ille-et-Vilaine)
Né dans l’Orne en 1991, Maxime a débuté sa vie active en tant que musicien, résidant au Royaume-Uni et en France. Reconverti ultérieurement dans l’industrie, il a adhéré à l’UPR en 2017, lors de l’entre-deux tours des élections présidentielles. Militant dans le Finistère pendant les élections législatives, puis en Ille-et-Vilaine pendant les élections européennes, c’est dans ce dernier département qu’il est nommé adjoint de délégation, fin 2017.
Devenu référent temporaire d'Ille-et-Vilaine fin 2019, il a aujourd’hui l’honneur de coordonner et de soutenir les actions de militants déterminés, sur l’ensemble du département.
Sandrine DORÉ (Sarthe)
Née à Alençon (Orne) en 1972, Sandrine a obtenu une maîtrise de psychologie clinique, suivi d'un diplôme d'éducatrice spécialisée. Elle est désormais domiciliée au Mans et travaille pour l'Aide sociale à l'enfance de Paris auprès d'enfants placés en famille d'accueil en Sarthe.
Elle est par ailleurs bénévole au SAMU social du Mans et déléguée syndicale. Elle œuvre également pour le bien-être animal.
Elle a connu l'UPR en mars 2017 par son compagnon qui l'a emmenée à une conférence et elle a adhéré dans la foulée. Depuis, elle est une militante active et s'est présentée au Mans sur la liste pour les municipales 2020.
Clément DUMONS (Eure-et-Loir)
Né à Nîmes en 1985, il a obtenu un diplôme d’ingénieur agronome à Nancy puis a travaillé pendant cinq années dans le secteur agro-alimentaire en tant que responsable marketing. Depuis quatre ans, il a décidé de changer d’orientation et de devenir professeur des écoles. Il est adhérent d’une troupe de théâtre d’improvisation qu’il pratique depuis dix ans. Adhérent à l’UPR depuis 2012 et militant sur le terrain depuis son adhésion, il est délégué départemental de l’Eure-et-Loir depuis février 2016. Candidat aux élections législatives en 2017 et directeur de campagne pour les régionales en Région Centre en 2015.
Marie EMAMIAN SHIRAZ (Gers)
Retraitée de 64 ans. Après avoir été infirmière et podologue à Paris pendant trente ans, Marie possède une binationalité franco-iranienne par son mariage.
Mère et grand-mère, elle vit dans le Gers depuis douze ans. Frexiteuse convaincue, elle adhère à l’UPR en 2015 et milite pour un monde meilleur sans perversions ni corruptions. Ancienne référente temporaire du Gers, elle est de toutes les campagnes électorales, depuis les régionales 2015 jusqu’aux européennes 2019 en passant par la présidentielle et les législatives 2017.
La même année, dans l’intérêt du parti, elle cède la délégation du Gers à Benoît Matharan (à droite sur la photo) qui a l’avantage d’être originaire du cru et en activité.
Catherine GRANIER-MANA (Bouches-du-Rhône)
Née en mai 1965, mariée et mère de deux enfants, Catherine est agent de maîtrise dans les transports collectifs urbains.
Elle a adhéré à notre mouvement en novembre 2015, sa toute première adhésion à un parti politique, convaincue par les trois thèmes Frexit, sorties de l'euro et l'OTAN.
En 2020, elle a été n° 2 sur la liste des élections municipales de la ville de Marseille.
Mounir KARAMAT (Deux-Sèvres)
Adhérent depuis 2016, âgé de 34 ans, originaire de Basse-Normandie et aîné d’une famille de quatre enfants, Mounir est ingénieur commercial dans le marketing digital. Depuis plus de dix ans, il s’intéresse au relationnel et à la communication, au point de faire carrière dans ce domaine après avoir quitté le milieu de la technologie. Il peut apporter à l'UPR des techniques de dialectique, de rhétorique et de maïeutique, pour que le parti exploite le levier de l'intelligence relationnelle et propage plus efficacement ses idées. Auteur d'une vidéo qui explique comment recruter trente adhérents pour le parti, Mounir a supervisé une bibliothèque de vidéos positives sur Youtube.
Elisabeth KLEIN (Loir-et-Cher)
Née en 1954, Elisabeth Klein a adhéré à l’UPR en 2014, après avoir découvert les conférences sur internet. L’avenir de ses cinq enfants a été la motivation première pour militer pour la première fois au sein d’un parti politique. Institutrice, elle est devenue psychologue scolaire, puis psychologue clinicienne, docteur en psychologie du travail (CNAM Paris), intervenante en prévention des risques professionnels et enseignante universitaire, désormais à la retraite. La sortie de l’Union européenne lui est apparue comme une évidence pour enrayer la spirale délétère du chômage et créer de l’emploi et redonner au travail humain toutes ses lettres de noblesse.
Johanna LÉPINE-BOUTIN (Loire-Atlantique)
Née en janvier 1990, mariée, sans enfant, Johanna est originaire du Choletais (Maine-et-Loire) et réside en région nantaise depuis 2013. Préparatrice en pharmacie de formation, elle associe en parallèle une activité de naturopathe. Ancienne abstentionniste par dégoût du milieu politique et de leurs représentants, c'est en visionnant des conférences de l’UPR qu'elle décide de rejoindre notre mouvement en 2016 avec son mari. Militante active depuis lors, elle prend le poste d'adjointe de délégation de Loire-Atlantique en 2019.
Olivier LOISEL (Gironde)
Né en 1978, Olivier est ingénieur en informatique. En mai 2005, il vote "Non" au référendum sur le TCE puis, privilégiant sa vie professionnelle et familiale, il oublie la trahison de son vote, comme 15,5 millions de Français. En juin 2016, quelques jours après le référendum britannique en faveur du Brexit, il adhère à l’UPR. Fiable, posé, diplomate et rassembleur, ce jeune père de famille s’est illustré par un militantisme actif, qui l'a conduit à être investi comme candidat aux législatives de 2017 et aux européennes 2019. Il a été responsable de la très active délégation girondine de novembre 2017 à novembre 2019, et est actuellement délégué régional d’Aquitaine.
François MÉRIL (Sarthe)
Né en décembre 1966, François est originaire du Maine-et-Loire et est installé au Mans depuis 2005. Il est actuellement assistant informatique utilisateur à l’AP-HP Paris. Après avoir adhéré en décembre 2015, il a été nommé adjoint de délégation de La Sarthe. Il milite activement au sein de sa délégation. Il a été candidat aux législatives et tête de liste aux municipales.
Anne MOREL (Rhône)
Âgée de 29 ans et installée à Lyon depuis 2009, chimiste de formation, Anne suit actuellement un master de programmation informatique. Après visionnage de la conférence « Qui gouverne la France et l'Europe », Anne est partie à la recherche de contre-arguments mais n’a finalement trouvé que des discours creux et vides de substance, sans aucune source à l’appui. Elle s'engage donc sans hésiter à l’UPR, en participant aux législatives 2017, aux européennes 2019 et aux municipales 2020. Adjointe de la délégation du Rhône, Anne s’est engagée sur notre liste dans le but de rétablir la transparence au sein de l’UPR et de développer la démocratie participative dans notre mouvement.
Valérie MORMICHE (Deux-Sèvres)
Mère de quatre enfants, âgée de 54 ans, infirmière hospitalière, Valérie découvre l’UPR début 2017 à travers les conférences sur internet. Le choc passé, très vite elle rencontre la délégation des Deux-Sèvres, adhère et milite activement sur les réseaux sociaux, colle des affiches, etc. Elle est candidate aux législatives 2017 dans la 3e circonscription des Deux-Sèvres. Si les buts restent le Frexit et le retour à la démocratie, ils ne pourront s’effectuer qu’au sein d’un parti de rassemblement exemplaire. Voilà le sens de son engagement et soutien pour cette liste menée par Philippe Conte.
Antoine PHILIPPE (Porto Rico)
Né en 1967, titulaire d’une maîtrise de lettres de l’université Lyon II et d’un doctorat de l’université de Californie à Irvine, Antoine est professeur d’études francophones à l’université de Porto Rico. Expatrié depuis 25 ans, il conserve un lien organique avec la France. Marié à une Américaine et élevant des enfants portoricains, il apprécie la rencontre des langues et les cultures. Vivant au quotidien la sujétion que subit Porto Rico, il est effaré de voir la France renoncer volontairement à sa souveraineté. Après avoir suivi l’UPR pendant des années, il adhère en mars 2017, convaincu que la France, comme tout autre pays du monde, n’a d’avenir que dans la souveraineté.
Naïma SCHULTZ (Côte-d’Or)
Née en 1976, mariée, deux enfants, Naïma a découvert l'UPR en fin d'année 2016 et a adhéré en mars 2017 après avoir été séduite par les conférences de François Asselineau.
Plus connue sous le pseudo « Nina Schultz », elle a animé et administré le groupe militant Facebook « les Upériens » afin de défendre et de propager les valeurs de l'UPR.
Opposée au projet de constitution européenne, elle a voté non au référendum de 2005 et porte haut et fort ses convictions.
Joris SILLÈRES (Meurthe-et-Moselle)
Né en 1986, Joris est marié et père de trois enfants. Il est conducteur routier international et ancien militaire.
Patriote de toujours, il ne peut se résigner à voir son pays disparaître au profit d'une utopie.
Il a découvert l'UPR en 2015, en cherchant sur internet un parti politique qui propose de sortir de l'UE, seule manière selon lui de retrouver notre souveraineté et indépendance nationales.
Valéry SOHM (Alpes-Maritimes)
Née en 1963, Valéry est commerciale et a reçu une formation en langue anglaise, droit et techniques de vente.
Elle est adhérente depuis mars 2017 après avoir trouvé par hasard une vidéo youtube sur « les 10 raisons de sortir de l'UE ».
Adjointe de délégation des Alpes-Maritimes, elle est tête de liste UPR aux municipales de Nice en 2020.
Valéry souhaite en faire chaque jour toujours plus pour alerter nos concitoyens sur la situation de la France.
Lionel SONNETTE (Haute-Corse)
Né à Brest en 1983, Lionel obtient un doctorat en sciences de la terre et de l'univers de l'université de Nice en 2012. Il découvre l'UPR sur internet pendant son séjour professionnel à Taïwan (janvier 2013 - août 2016). Sensible aux problèmes environnementaux et de gestion des ressources, qui impliquent des mesures politiques d'importance, Lionel souscrit pleinement à la nécessité de retrouver notre souveraineté en sortant de l'UE, de l'euro et de l'OTAN. Il adhère à l'UPR lors de son installation en Corse.
Il est délégué départemental de la Haute-Corse, puis délégué régional de la Corse et a été candidat aux législatives de juin 2017.
Émilie TREMBLIER (Charente-Maritime)
Née en 1987, Émilie est professeur des écoles, actuellement en reconversion professionnelle pour devenir responsable d'entreprise agricole maraîchère biologique. Après avoir suivi l'UPR pendant un an, elle se décide à adhérer pour la première fois à un parti politique en 2017.
Elle est adjointe de délégation de Charente-Maritime depuis deux ans.
Son engagement : être chaque jour plus utile à la cause du Frexit et dans la lutte pour retrouver notre démocratie.
Firass YASSIN (Rhône)
Firass a 40 ans, il est marié et père de deux enfants. Il habite dans le Rhône. Il est ingénieur agronome et a adhéré à l'UPR en juin 2018. Il a été candidat aux municipales à Brignais pour l'UPR en 2020.
Il est spécialiste des questions de développement agricole et d'alimentation au sens large. Il a notamment participé à un débat filmé avec Jérôme Yanez sur ces questions. Il intervient également régulièrement sur la chaîne UPR TV Rhône. Il est originaire de la gauche et est arrivé à l'UPR après avoir compris que l'Union européenne ne serait jamais un outil au service des peuples.
Diantre ! Quelle maîtrise de l’arithmétique et quelle fulgurante analyse de fond ! Merci d’exister.