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L'Obs — François Asselineau accusé de harcèlement sexuel : la « cocotte-minute » de l’UPR

Dernière mise à jour : 26 mai 2020

La menace d’une enquête pour harcèlement sexuel plane désormais sur le président du mouvement souverainiste, jusque-là intouchable au sein de son parti, l’UPR.


Paru sur l'Obs en ligne.

Enquête de Lucas Burel - Samedi 09 mai 2020



Voici l'article en intégralité. Nous vous invitons à vous abonner ici.


Rien ne va plus à l’UPR. Depuis quelques semaines, l’Union populaire républicaine, fondée en 2007 par François Asselineau, se retrouve sens dessus dessous. Sur fond d’accusations de harcèlement sexuel sur deux de ses anciens très proches collaborateurs, le président du mouvement souverainiste, apôtre acharné du « Frexit », fait face à une fronde sans précédent d’une majorité de ses cadres. Elle fait suite à la publication anonyme le 10 avril sur les réseaux sociaux de documents internes au mouvement ou issus de la correspondance privée de François Asselineau. Une fuite aussitôt rebaptisée « AsselineauLeaks ».


Dans un courrier du 18 avril, rendu public par nos confrères du « Figaro », vingt membres du bureau national du mouvement et treize délégués régionaux ont ainsi réclamé la démission, sous 48 heures, de l’ancien candidat à l’élection présidentielle de 2017 (0,9 % des suffrages) en raison de « faits d’une exceptionnelle gravité » et de l’existence de « documents et de témoignages » indiquant des « relations particulières et plus qu’insistantes de votre part à l’égard » de deux collaborateurs.



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